À tort, le tunisien est complètement désintéressé pour participer aux élections législatives et présidentielles. Et ce taux est en baisse depuis 2011.
Sur les 8 millions d’électeurs potentiels en droit de voter.
Malheureusement pour les dernières élections de 2019. Le taux de participation à ces élections législatives n’a pas atteint des records. Avec seulement 2,8 millions électeurs, qui se sont rendus dans les centres de vote. Parmi les 6.7 millions d’électeurs, enregistrés aux registres de l’ISIE.
Le taux de participation des Tunisiens au local que 41,3%. Et à l’étranger un scrutin très faible, atteignant 8,6% !
Bref ce désintérêt est fatal pour notre bonne transition démocratique. Et le résultat est choquant. Conséquences catastrophiques, le chaos total qui règne, dans une Tunisie à l’agonie. Et par préméditation, l’Etat s’effrite en mille morceaux.
La solution salvatrice serait un nouveau code électoral, qui rendrait entre autres, le vote obligatoire, avec forte sanction pour les absents.
Mais pas que, tout le « système de gouvernance » instauré depuis 2011, et à revoir sous une « 3ème république » pragmatique et efficace. Et le plus vite serait le mieux.
Si tu t’occupes pas de Politique, la Politique s’occupera de toi. C’est les autres minorités d’inconnus élus, malsains voire crimiminels. Qui décideront de ton avenir, et de celui de ta famille !