L’activité bancaire, est une activité pluridisciplinaire, fortement réglementée et entourée d’une multitude de risques (contrepartie , marché, taux, liquidité opérationnel, cybernétique et de réputation).
Pour exercer ce métier, le banquier doit maitriser les techniques, apprécier les risques, évaluer la résilience de ses clients, respecter les textes juridiques et réglementaires qui régissent ses différents métiers.
Mais le banquier doit aussi être armé par beaucoup de courage pour prendre les décisions idoines et contribuer ainsi au processus de développement du pays.
Or, ce que nous constatons aujourd’hui c’est une campagne de diabolisation orchestrée à l’encontre du secteur, le décrivant comme un cartel de profiteurs et de « suce sang ».
Aussi les enquêtes et les poursuites orchestrées à l’encontre de certains cadres de banques a diffusé un sentiment de peur au sein des responsables surtout de crédits, immobilisant ainsi toute initiative ou soutien aux agents économiques.
Pour mieux clarifier l’environnement bancaire ses métiers ses risques et la responsabilité du banquier « l’Association Tunisienne de la Culture Financière » ( ATCF ) a organisée en collaboration avec « l’Ordre National des Avocats », une journée d’étude ayant pour thème :
L’activité bancaire : Risques et responsabilités du banquier
D’éminents intervenants ont enrichi cette journée par leurs précieux exposés à l’instar de MM Khaled Bettaieb, Sami Frikha et Chiheb Ghanmi.
Un débat fructueux a été organisé à la fin de la rencontre, qui a débouché sur des recommandations fort intéressantes .
un des sujets des plus critiques qui a été debatus par l association: entre critiques a l encontre le secteur et sa défense il faut accepter que bcp de choses doivent être éclairés ds ce genre de débat pour tirer des leçons en matière de gouvernance surtout que systeme a connu des dossier s brûlant tel que bâtam, le secteur imobiliolier, gestio.des dossiers de mise à niveau et ceux faisant l objet de la loi 95, ss oublier le financement du secteur oleicol…
Ce que je viens d evoquer s il n a pas ébranler le secteur bancaire la fragiliser comme le signale les agences de notation et les observateurs internationaux.
Le 2e outil qui n a pas encore apporté son vrai soutien à l efficacité de notre systeme bancaire, sa non maîtrise ou la non utilisation optimal de cet outil n a pas eu l effet attendu a la gestion de l activité bancaire et les raisons différent d une banque à une autre.
Il faut accepter que notre système bancaire est fragmenté et évolue à différente vitesse et ne peut aisément connaître un grand pas en avant pour le moment… nous espérons que des mesures adequates soient prises pourqu il connaîttra un changement profond.
Merci