C’est les conséquences directes, 9 ans après la pseudo-révolution de 2011, mais malheureusement pas que, le pire est à craindre à d’autres niveaux :
* La classe moyenne tunisienne représente, aujourd’hui, selon les statistiques du FTDES, moins de 50% de la population, contre 70% en 2010 et 84% en 1984.
* Pire, tous les indicateurs relatifs à cette classe ne cessent de se réduire, comme une peau de chagrin, au point qu’”elle a perdu plus de 40% de son pouvoir d’achat entre 2010 et 2018″, souligne le professeur universitaire d’histoire et président de l’Institut tunisien des études stratégiques (ITES), Néji Jalloul.
* “Le pourcentage des citoyens appartenant à la classe moyenne dont les comptes bancaires sont débiteurs s’élève à 40%.
* 15% des salariés consomment la totalité de leurs salaires avant la moitié du mois.
* 17% n’arrivent plus à manger de la viande. L’endettement des ménages de la classe moyenne a atteint 260%”.
À quand le Changement, pour stopper cette régression de la classe moyenne, due au chaos total qui règne en Tunisie. Les responsables d’office, sont nos gouvernants successifs d’incapables, depuis 2011 à ce jour.
Mon essai du 30 novembre 2020 … et depuis ?